Pixel art


Préambule

Juste une petite note, histoire de vous introduire ce qui va suivre. Grande première, MacBrains ouvre ses portes à un contributeur extérieur, Jérémie (Que vous lirez sous la signature 21st Century Dork), et devient un peu une affaire de famille puisque c’est mon cousin à moi. Dans la famille des geeks, ou je fais office d’archétype du techno-geek atteint jusqu’à la moëlle, Jérémie serait plutôt issu des branches « cinéphile – BD – Jeux vidéos ».

Véritable puits de science cinématographique et doté d’un réel talent pour le dessin, il tient lui-même un « blog BD » (erk, c’est quoi ce terme pourri) que je vous ordonne de visiter. C’est par ici.

Or donc, cédant à mes suppliques aussi misérables que larmoyantes, il a accepter de venir dispenser ici ses lumières ses sujets de prédilection. Faites-lui bon accueil et merci d’avance de lui pondre un petit commentaire d’encouragement, hein.

Fin du Préambule et place à l’artiste !

Pixel art

Par 21st Century Dork

Après une série d’articles vantant la qualité visuelles des bandes annonces et cinématiques des jeux vidéos next-gen, peut-être est-il nécessaire de rappeler que le trend du moment c’est le pixel art et le retour aux graphismes 8 et 16 bits de notre enfance.

Parmi ces jeux demakés (remake à l’envers, en plus ancien), un se révèle un “vrai” jeu vidéo, jouable: il s’agit de SCOTT PILGRIM VS. THE WORLD, adaptation du film du même nom d’Edgar Wright (les hilarants Shaun of The Dead et Hot Fuzz), lui-même l’adaptation des comics de Bryan Lee O’Malley.

Il s’agit d’un petit beat them all aux graphismes 16 bits délicieusement rétro, façon Double Dragon ou TMNT: Turtles In Time. C’est fun, coloré, nerveux et hardcore comme au bon vieux temps et qui pousse le vice jusqu’à reprendre les bugs graphiques et sonores des jeux de l’époque.

Loin de moi l’idée de faire de la pub pour une console de jeu, mais dans le cas présent il n’est disponible que sur le playstation network à un prix, ma foi, qui est proche de celui d’un kebab/coca chez Mouloud au bas de la rue. Donc plus que correct étant donné les heures de plaisir coupable et nostalgique prodigués par la bête.

Le plus beau c’est que l’animation de cet écrase-boutons oldschool a été confié à ce fêlé de Paul Robertson, l’otaku geek chantre du pixel art déviant à qui on doit ces chefs-d’oeuvre de film en pixels que sont Kings of Power 4 Billion % (Partie 1 & Partie 2, 3 ans de boulot!) et Pirate baby Carabana Battle Street Fight 2006 (Attention, détournez le regard des prudes et des enfants, c’est Akira au pays de Pikachu !)

Pour finir, un lancer de tomate concentré sur Universal qui a repoussé à deux reprises la sortie du film SCOTT PILGRIM VS. THE WORLD. Le film est sorti en juillet aux USA et ne débarquera chez nous qu’en novembre, soit plus d’un mois après la sortie DVD du film chez les ricains et à quelques jours de la sortie d’un certain sorcier avec une cicatrice en forme d’éclair sur le front.

Suicide commercial ? Sachant que le coeur de cible de ce film sont les ados et les geeks, il y a fort à parier qu’il sera massivement téléchargé d’ici là. Mais, à quoi ils pensent chez Universal ?

À propos dorktales
just a dork

7 Responses to Pixel art

  1. blazouf says:

    Welcome Jérémie ! 🙂

  2. Ping: Paléo-gaming (et auto-publicité) « Macbrains

  3. alexis Terrée says:

    Bien aimé la bd ! 😀
    Bienvenue !

  4. SCOTT PILGRIM VS. THE WORLD est dispo également sur XBOX Live depuis le 25 août, pour ceux que ça intéresse.

  5. Ping: Le monde contre Scott Pilgrim « Macbrains

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